La nouvelle campagne d’Alzheimer Suisse « J’ai peur de l’homme » illustre à quel point une pathologie démentielle peut changer une vie. La mémoire s’en va et les oublis compliquent la vie au quotidien. Des rendez-vous sont manqués, des activités familières posent soudain problème, l’orientation dans l’espace et dans le temps se détériore, des troubles du langage apparaissent et, la maladie progressant, les êtres aimés deviennent des inconnus.
Quelque 130 000 personnes atteintes de démence et leurs proches sont au cœur de l’engagement d’Alzheimer Suisse. Pour organiser leur quotidien de la façon la plus autonome possible, il leur faut dès le début des informations, des conseils, du soutien et quelqu’un qui défend leurs intérêts. C’est ce qu’Alzheimer Suisse est en mesure d’offrir par le biais de ses 21 sections cantonales.
Avec cette première campagne, Alzheimer Suisse sensibilise le public sur le problème des démences et leurs conséquences. Contribuons à ce que les personnes atteintes de démence continuent à participer à la vie publique.
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